Ma nouvelle servante.


Gustav Klimt, Danaë (1907)

Rousse à forte poitrine, voilà ce que je recherchais pour exercer mon autorité. De malheureuses petites choses égarées ont répondu, avant que tu ne viennes, toi l'étudiante en économie, toi la complexée aux mèches de feu. J'avais besoin d'une proie telle que toi, et malgré quelques hésitations, tu t'es offerte docilement. La première véritable rencontre, sans tous les artifices de la sociabilité, fut pour toi l'occasion de pleurer, de mourir de honte lorsqu'il te fut ordonner de te dévêtir. Ce fut pour moi le temps de retrouver un corps voluptueux, pâle et frémissant de vie, ce fut pour moi un grand bonheur que de t'infliger tes premiers coups de badine. Ton instinct de soumise s'est vite éveillé, ta nature femelle t'a poussée à ramper vers moi, à lécher mes bottes alors que pleuvaient les coups. Le cuir de ma chausse, tu le nettoyas de toi-même en prenant tes seins volumineux à pleines mains, afin de les frotter pour faire reluire la matière. J'ai aimé te voir sourire, le visage marquer de larmes, celles de la délivrance, lorsqu'une femelle apprend à découvrir la femme en elle.
J'ai aimé ta douce innocence perçant dans les remerciements que tu me témoignais, alors que je te dirigeai vers le lit pour te réconforter, te câliner. J'ai goûté à ton sexe, et je sais qu'à notre prochaine rencontre, il sera définitivement épilé, huilé et parfumé, j'ai été heureuse en utilisant des pinces pour tes mamelons, cela m'a réchauffée le cœur de voir combien tu raffolais des pénétrations anales, ce gode que tu trouvais si monstrueux, il est entré sans mal dans ton fondement, j'ai apprécié voir ton anus rester ouvert, béant, désormais il sera ainsi, car les présents que je t'ai offert seront utilisés quotidiennement et à bon escient.
Mon instant préféré, esclave de mon cœur, fut de te voir traverser le salon en tremblant d'épuisement, ta démarche altérée pour toujours par une enculade trop sauvage, tu remis tes vêtements d'étudiante, un shorty, un baggy et un haut, tu voulais remettre ton soutien-gorge, mais j'ai préférée fixer moi-même une bande de cuir, afin de comprimer tes seins, pour être la seule à connaître leur lourdeur. Lookée à la mode du moment, tu es venue timidement quémander un baiser, je t'ai embrassée sur le front, en t'expliquant que les baisers amoureux te seraient donnés selon tes progrès dans la déchéance, après ta renaissance en tant que femme. Mais sois certaine, chienne servile, que ta maîtresse Claire reste fort satisfaite de tes performances.

8 commentaires:

Anonyme a dit…

pour toi je le jure, je ramperai avec amour et lècherai tes bottes, pour toi je serai épilée, percée et soumise, parce que tu es une maîtresse incroyable.
Pour un baiser de toi, je serai ta chienne.

Anonyme a dit…

Je suis folle de cette image.Et depuis que j'ai croisé Francesca sur la toile je ne suis pas prete de la decrocher! C'est un texte vraiment très beau et votre symbiose si particuliere est incroyable.

Anonyme a dit…

une nouvelle rouquine? la chance... pour elle.

The Ragnarok a dit…

this picture of Klimt is... wow!!!

CROWDED WORLD a dit…

amusez vous bien toute les deux, et toi ne sois pas trop cruella!!!

Harkender a dit…

et je suis sûre que tu va la convertir au rôlisme en plus, la pauvre!

Anonyme a dit…

J'me sens bête, je croyais que tu parlais de Francesca..
Ta nouvelle adepte doit être très charmante..
Qui pourrait te résister?

Anonyme a dit…

roooooooooooh une rousse... photos photos!!! hihi