Chan Ky-Yut a réalisé de nombreux livres d’artistes en collaboration avec poètes et écrivains, tels Michel Butor, Andrée Chedid, Jean-Pierre Siméon, Lorand Gaspar, Adonis, Salah Stétié, Arrabal ou François Cheng. Ces ouvrages d’une facture plus intime renouvellent le dialogue entre poésie et peinture caractéristique de la Chine ancienne.En parallèle à cette exposition, sont présentées des céramiques japonaises issues des collections du musée. Après avoir évoqué l’art de la céramique liée au thé, dans le style wabi (« pauvre »), le choix se porte sur la porcelaine de la province de Hizen : ustensiles pour les banquets donnés par la noblesse au XVIIe siècle, céramiques destinées à l’exportation. D'autres pièces témoignent de l’influence chinoise à la période d’Edo, désignée sous le nom de « goût lettré ».
6 commentaires:
tu as des goûts trés variés Claire, les musées parisiens doivent à peine suffire à étancher ta soif de beau.
le style wabi je connais, je vais d'ailleurs me lancer en sculpture sur argile et faire des trucs bien pauvre, artistiquement parlant!!!
Hello,
Juste un petit mot pour dire que je viens de découvrir ton com sur mon dernier post alors que j'étais justement chez toi en train de lire divers articles. Les grands esprits se rencontrent dit-on ... :-)
Bon week-end. @ + ...
chan ki yut, oui je connais cet artiste! j'aime sa maîtrise de son art.
Une bise au passage... @+ VDZ
toujours cette soif de beau qui te prend ma chérie!!!
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