Rêve d'un anneau.


La pose sera presque indolore, tu seras étendue sur la table, les pieds dans des étriers relevés, pratiquement dans la position d'accouchement. Tu préfèrera fixer le plafond, éprouvant un peu de honte à exhiber ta vulve gonflée et brunie par les deux heures de masturbation quotidienne que je t'impose. L'homme qui effleurera tes lèvres intimes ne ressentira rien pour toi, il fera juste le travail que je lui aurai commandé, mais moi qui serai à son côté, respirant tes puissants effluves, je distinguerai la bosse déformant son pantalon en faux cuir. Juste avant de venir chez cet artiste, nous aurons fait l'amour et je t'aurai imposé le port d'un plug anal qu'il ne pourra manquer de remarquer. Il en aura souvent vue, des esclaves telles que toi, accompagnées de leurs maîtresses. Je te tourne rai autour, mes gants de cuir en daim noir effleureront ta bouche volontairement trop maquillée, mes doigts glisseront dans tes boucles rousses, tu retiendras ta respiration lorsqu'il s'emparera d'un inquiétant pistolet puis retournera entre tes cuisses. J'aurai refusé une anesthésie trop forte, j'aimerai entendre ton cri en réalisant pleinement ce que tu es en train de faire. Tu seras magnifique, je t'aurai imposé un look de pute pour tes journées à la fac, un look de fille sage pour ta famille, et celui de jeune bourgeoise pour nos journées ensemble, mais ce jour là, je voudrai ma pute, parce que j'aime te voir te dévêtir, renoncer à ton verni social pour enfiler les vêtements qui font de toi moins qu'une femme. Ces contraintes tu les acceptes déjà, tu m'as avouée en avoir besoin, justement pour te sentir vivante, et féminine.
Ton cri me fera frissonner, mouiller, et imaginer mille tourments à travers cette nouvelle marque de ton asservissement. Je le sais déjà, tu seras sublime, avec ton clitoris percé d'un anneau d'or, une bague de fiançailles pour ma femelle rousse, débordante de vie et de perversion. Je t'aiderai à baisser ta micro jupe ne cachant rien de ton intimité, tu tituberas mais je te guiderai, et il me tarde de voir ton sourire, perlé de larmes où se mêleront joie et douleur, il me tardera de te voir impudiquement exhiber ton anneau, et d'imaginer que pendant de nombreux jours, le plaisir de te faire jouir à travers le clitoris te sera interdit, je sais déjà que tu en deviendra folle, et que tu te comportera comme une chienne pour être comblée, par les seins, l'anus et la bouche. Je t'en fais la promesse, mon esclave, tes orifices seront des foyers d'incendie, ce sera ta récompense pour m'avoir prouvé ta dévotion. Plus tard, je te ferai percer les tétons, puis je garnirai tes grandes lèvres d'anneaux qui tinteront sans cesse, attirant l'attention sur toi, si timide. A terme, esclave, je t'aurai ôtée tous tes complexes, ta pudeur aussi, et uniquement à ce moment, je t'autoriserai à m'aimer comme une femme peut en aimer une autre. Jusque-là, je sais pouvoir compter sur toi pour cirer mon parquet avec ton corps pâle et délicat.
Je t'aime, ma flamboyante femelle.

7 commentaires:

Anonyme a dit…

c'est un trouk qui me plairait bien, mais que je ferai uniquement avec ma femme de moi je pense.

Anonyme a dit…

chaque orifice est ta propriété, maîtresse adorée, chaque partie de mon être est pour toi, je l'ai juré sous la cravache, je l'ai juré en jouissant. Perces moi si tu le souhaites, je t'aime.

Anonyme a dit…

c'est une trés belle esclave que tu as trouvée là ma chérie, prends en bien soins.

Anonyme a dit…

ouh...
Percée à cet endroit... :S
J'avoue, je suis heureuse d'être seulement ton homonymie ! hihi
Néanmoins, permet moa de t'embrasser... attentionneusement ! niark !

Anonyme a dit…

c'est terrible cette domination!

Anonyme a dit…

toujours fascinante dans ta perversion.

Anonyme a dit…

Ma maîtresse m'a aussi rendu sublime en me perçant les lèvres d'anneaux... Quand je m'exhibe devant elle portant que bijoux et talons, je me sens objet de désir ultime.